N. Solomon | La métaphore du vivant chez Balzac | Atelier écocritique | Perpignan | 10 mars 2016
Nathalie Solomon, « “L ‘avide scalpel du XIXe siècle” : la métaphore du vivant chez Balzac »
Atelier écocritique et écopoétique – 10 mars 2016, 17h00
Grandville, Balzac et les personnages de la Comédie humaine
Organisé par Bénédicte Meillon et Jonathan Pollock
Université de Perpignan-Via Domitia
Salle du VECT, RDC du Bat – LSH
52 av. Paul Alduy, 66100 Perpignan
La métaphore biologique permet au narrateur balzacien, au même titre que l’historien des mœurs, de traiter la fiction comme de la réalité. Or, plus la matière narrative s’éloigne du contexte naturaliste ou médical, plus la transformation du narrateur en autorité scientifique témoigne de son impuissance paradoxale à maîtriser les éléments du récit. La figure du médecin, du naturaliste, du botaniste, plus ambiguë qu’il n’y paraît, endosse parfois le rôle de corrupteur du sens.
Balzac (daguerréotype, Louis-Auguste Bisson, 1842)
Anne Simon
Anne Simon est Directrice de recherche au CNRS et Professeure à l'Ecole normale supérieure (Paris). Responsable du Centre international d'étude de la philosophie française–PhilOfr, elle anime les carnets PhilOfr, Animots, Pôle Proust et Prix Recherche au présent.
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Anne Simon (7 mars 2016). N. Solomon | La métaphore du vivant chez Balzac | Atelier écocritique | Perpignan | 10 mars 2016. Animots. Consulté le 11 octobre 2024 à l’adresse https://doi.org/10.58079/b6ee
