Mondes animaux, mondes artistiques, Textes et témoignages réunis par Marie Renoue, Marie Pelé, Éric Baratay Comment rendre compte de la manière qu’ont les artistes de donner vie, corps et subjectivité aux animaux, et de...
Né à Kiev en 1961, Oleg Kulik a suivi un cursus d’art et de géologie. Cette double formation va inspirer une œuvre tissée par des enjeux multiples, esthétiques, biologiques et territoriaux. Ses premières expositions...
Journée d’étude organisée par le Cielam et le Centre Gilles-Gaston Granger Aix-Marseille Université Maison de la Recherche, salle T1-2.08 29 avenue R. Schuman, Aix-en-Provence Vendredi 28 juin 14h – Accueil des participants Le...
Les peintures de Drew Dodge sont des systèmes synergiques, des monuments colossaux qui abritent à la fois la vie et la mort. Les différents motifs qui composent ses peintures sont imprégnés d’un symbolisme explicite tout en constituant des énigmes séduisantes. Et pourtant, les symboles divergents se synchronisent, s’agglomérant en une image dont la cohérence repose sur la distinction.
Apparu sur le devant de la scène au début des années 2010, l’artiste Benoit Huot est l’auteur d’une œuvre singulière, étrange et inclassable, à contre-courant des tendances, des chapelles et des catégories dans lesquelles notre modernité ne cesse de se réfugier, le monde de l’art en tête. Pour cette exposition, la Fondation du doute présente une trentaine de ses « personnages », un peuple multiple et bigarré qui se refuse toute essence propre pour s’inscrire a contrario dans un élan vital, celui du devenir et de la transformation de soi.
À l’heure de l’expansion de l’intelligence artificielle vouée, dans les fantasmes collectifs, à « remplacer » l’intelligence humaine, une sensibilité particulière aux spécificités de l’intelligence animale se développe, comme par contre-réaction. Inscrit dans le cadre du projet HIDEIA (Histoire de l’Intelligence. Définitions. Esthétiques. Imaginaires. Applications), le présent séminaire interdisciplinaire se propose d’explorer les différents modes de représentation et de compréhension littéraire de l’intelligence animale dans ses relations avec les représentations artistiques et scientifiques telles que le siècle de Darwin a pu contribuer à les renouveler.
Le prochain salon Lire la nature se déroulera les 20 et 21 janvier 2024 au coeur du quartier du Marais (Paris 3e). Un temps fort à vivre entre littérature, art, science, environnement et divertissement...
Dans le contexte de la crise du changement climatique provoquée par la suractivité et la surproduction humaines, que peuvent nous apporter les artistes ? Ceux-ci ont en effet créé une sorte de mouvement, appelé « l’art planétaire », qui revisite complètement nos rapports à la nature.
La question que pose l’art planétaire n’est plus seulement celle de la globalisation ou de la mondialisation, des échanges interculturels, mais aussi celle de la planète, de nos relations en tant qu’humains à la nature. Il s’agit ainsi d’interroger les interdépendances planétaires.
